Le séjour
LES PLUS DE CE SÉJOUR :
- Un hôtel coup de coeur selectionné par l'équipe Arcanson,
- Un programme de randonnée à composer à la carte grâce au « carnet de randonnée » complet fourni avant le départ.
- Des randonnées sauvages et hors des sentiers battus, dans un Vercors encore confidentiel qui a su se préserver du tourisme de masse !
Programme
Jour 01 :
Si vos chaussures de randonnée trépignent d'impatience, selon votre provenance : vous pouvez arriver dès le matin pour profiter pleinement de votre première journée en réalisant une des randonnées du programme. Votre chambre sera prête à partir de 16 h.
Jours 02 à 04 :
> ITINÉRAIRE A : Font d'Urle
FACILE Dénivelée : + 560 m, - 560 m Longueur : 14 km Horaire : 4 h 30
Ou
MOYEN Dénivelée : + 680 m, - 680 m Longueur : 20 km Horaire : 6 h
> ITINÉRAIRE B : Réserve Naturelle des Hauts Plateaux
Changement de décor : randonnée dans la Réserve des Hauts Plateaux du Vercors, unique par sa taille : la plus grande de France, 17 000 hectares !
Véritable écrin de nature, aucune route ne silonne cet espace sans limite.
Attention, au-dessus de vos têtes planent certainement quelques vautours.
FACILE Dénivelée : + 500 m, - 500 m Longueur : 12 km Horaire : 4 h 30
Ou
MOYEN Dénivelée : + 920 m, - 920 m Longueur : 23 km Horaire : 6 h
> ITINÉRAIRE C : Panorama Diois
Tout au bout du Val de Vassieux, vers le sud, vous randonnez en crêtes entre la Bute St Genix et la Bute de l'Aiglette. En contrebas, les contreforts du massif du Vercors et ses champs de lavande, son vignoble de la Clairette de Die et son ambiance provençale.
FACILE Dénivelée : + 430 m, - 430 m Longueur : 10,5 km Horaire : 4 h
Ou
MOYEN Dénivelée : + 730 m, - 730 m Longueur : 16 km Horaire : 6 h
> ITINÉRAIRE D : Sur le toît du Vercors !
Pimentez votre séjour en partant à l'assaut du plus haut sommet du Vercors à 2341 m d'altitude : le Grand Veymont. Une étape sauvage sur les sentiers de la Réserve Naturelle des Hauts Plateaux du Vercors. Une belle ascension sportive avec à la clef un panorama exceptionnel.
SPORTIF Dénivelée : + 1000 m, - 1000 m Longueur : 21 km Horaire : 7 h
Jour 04 :
Vous pouvez prolonger votre séjour en optant pour une nuitée supplémenataire (formule 5 jours / 4 nuits).
NB : Pour ce séjour, il est nécessaire d'avoir son propre véhicule pour se rendre aux points de départ des itinéraires de randonnée.
Attention : Nous pouvons être parfois amenés à modifier quelque peu l'itinéraire indiqué pour des raisons météorologiques ou de modification de l'état du terrain (éboulements, sentiers dégradés, etc.). Faites-nous confiance, ces modifications sont toujours faites dans votre intérêt, pour votre sécurité et un meilleur confort !
Dates / Prix
Dates | Tarifs (à partir de) | Infos Prix / Options |
---|---|---|
|
330 € Réserver |
NB : Tarif 3 participants = en chambre triple.
LE PRIX COMPREND
- l'hébergement en hôtel pour 3 nuits
- la demi-pension incluant dîners et petit-déjeuners
- les taxes de séjour
- un carnet de randonnée complet préparé par Arcanson comprennant topoguide, cartes tracées et cartes du Parc du Vercors,
- les traces GPS des itinéraires.
LE PRIX NE COMPREND PAS
- les pique-niques,
- les boissons,
- les transferts internes aux points de départ des randonnées,
- l'assurance et les frais d'inscription,
- le transport de votre domicile à l'hébergement.
Fiche pratique
ACCUEIL
En cas de problème de dernière minute ou de retard :
Appelez le 04 76 95 23 51.
Accès voiture :
* En venant du Nord par l'autoroute A49 : Grenoble-Valence
Prendre la sortie St Marcellin, puis direction Parc du Vercors, Pont en Royans. Prendre ensuite la D518, direction Ste Eulalie, les Grands Goulets puis la Chapelle en Vercors.
* En venant du Sud par l'autoroute A7 :
Prendre la sortie : Tain l´Hermitage (en venant du nord), direction Romans - Bourg-de-Péage, puis St Nazaire en Royans, puis La Chapelle en Vercors, Vassieux. Ou sortie Loriol (en venant du sud), direction Die, puis col de Rousset et enfin La Chapelle-en-Vercors.
* depuis Grenoble par la nationale :
Depuis Sassenage , suivre Lans en Vercors, Villard de Lans. À Villard de Lans, suivre St Julien en Vercors puis la Chapelle-en-Vercors.
DISPERSION
NIVEAU
Composez votre séjour à la carte en choissisant votre randonnée au jour le jour, en fonction de votre forme et de la météo :
FACILE - Randonneur niveau 1 sur une échelle de 5 :
3 à 4 heures de marche.
Itinéraire vallonné de 10 à 15 km ou sentiers avec dénivelées de 200 à 400 m en montée et/ou en descente.
MOYEN - Randonneur niveau 2 sur une échelle de 5 :
4 à 5 heures de marche par jour
Itinéraire vallonné de 15 à 20 km ou itinéraire de montagne avec dénivelées de 400 à 600 m en montée et/ou en descente.
SPORTIF - Randonneur niveau 3,5 sur une échelle de 5 :
5 à 7 heures de marche
Itinéraire vallonné de 25 à 35 km
Ou itinéraire de montagne avec dénivelées de 600 à 1 100 m en montée et/ou en descente, parfois hors sentiers. Pratique boussole et lecture de carte INDISPENSABLE.
HEBERGEMENT
Coup de ♥ de l'Equipe Arcanson !
Pour ce séjour, nous avons fait le choix d'un hôtel 2* familliale et très accueillant dans le village de La Chapelle-En-Vercors. C'est un camp de base idéal pour profiter pleinement de votre découverte du Vercors ! L'etablissement dispose d'une belle piscine naturelle (non chaufée), d'une terrasse ombragée et d'espaces de détente dans un grand jardin arboré. Un vrai havre de paix …
Vous serez logés en chambre confortable pour 2 personnes. Sanitaires et wc privés, draps et serviette fournis. Pour un groupe de 3 participants ou nombre impaire : hébergement en chambre triple possible.
Le village est vivant et animé en période estivale : Office de Tourisme, marché hebdomadaire / de producteurs locaux, visites de ferme, commerces du terroir, etc. Vous pourrez facilement compléter votre programme de randonnée en agrémentant votre séjour de nombreux petits plus !
L'hôtel est très demandé, en cas d'indisponibilité au moment de la réservation, nous vous proposerons 2 autres solutions d'hébergement :
- Dans une belle Auberge de Pays réuptée pour sa table gourmande avec supplément de 15 € / pers. Equivalent hôtel 2*, draps et serviettes fournis.
- Dans un Gîte atypique à Vassieux, en formule « chambre » avec salle de bain et sanitaires collectifs, draps et serviettes fournis : sans changement de prix.
Ces 2 établissements ne disposent pas de piscine.
Repas :
Dîners et petits déjeuners servis chauds.
Pique-niques :
Ils ne sont pas compris dans la formule de base de votre séjour. Vous pouvez vous ravitailler dans les commerces ou sur marchés de La Chapelle-en-Vercors. Ou bien les commander au moment de votre réservation (préparés par votre hôtel) : + 10 € / pers. / jour.
PORTAGE DES BAGAGES
GROUPE
DOSSIER DE RANDONNEE
EQUIPEMENT INDIVIDUEL A PREVOIR
- votre gel hydro-alcoolique de poche et lingettes désinfectantes.
- 1 tire-tiques.
En savoir plus
www.vercors.fr
www.parc-du-vercors.fr
www.planete-vercors.com
- Parc Naturel Régional du Vercors, à Lans en Vercors : tel 04 76 94 38 29
Le nom « Vercors » viendrait du nom d'un peuple celte installé dans la région : les Vertacomicorii.
Les habitants du Vercors sont donc les Vertacomicoriens !
Ce n'est qu'au début du XXème siècle que les géographes grenoblois définissent l'entité Vercors comme étant un massif montagneux.
- Les Quatre Montagnes au nord-est,
- Le Royans isérois au nord-ouest,
- La Gervanne au sud-ouest,
- Le Royans drômois entre Gervanne et Royans isérois,
- Le Vercors central,
- Le Diois au sud,
- Le Trièves au sud-est.
Le Vercors est un massif calcaire constitué de sédiments qui se sont empilés pendant l'ère secondaire (-150 à – 65 millions d'années). Par la suite, la tectonique des plaques a donné naissance aux Alpes. Les roches du Vercors se sont déplacées vers l'ouest. Mais, les volcans d'Auvergne, plus anciens, ont formé un barrage. C'est pourquoi le déplacement s'est accompagné d'un plissement des roches et donne au massif sa structure en tôle ondulée : anticlinaux pour les plis en voûte et synclinaux pour les plis en creux.
L'eau a ainsi façonné au fil du temps des gorges profondes, des cirques majestueux, des gouffres et des grottes parmi les plus célèbres en Europe (gouffre Berger, grottes de Choranche).
Ainsi vous découvrirez des paysages des plus divers tels que falaises, prairies herbeuses, sentiers en sous-bois, cascades rafraîchissantes ou panorama à 360°.
Le tourisme a commencé à se développer avec la station climatique de Villard de Lans. Les malades, atteints de tuberculose, venaient y séjourner et se mettre au soleil et au grand air sur les larges balcons des hôtels. Les remontées mécaniques apparaissent dès 1931. Après la Deuxième Guerre mondiale, nombre de mutations vont changer la vie des habitants et des touristes : achèvement de l'électrification, ouverture de nouvelles routes. Les Jeux Olympiques de 1968 de Grenoble donnent encore un élan de médiatisation avec celles du saut à ski à Saint-Nizier-du-Moucherotte et les épreuves de ski de fond à Autrans. C'est dans ce cadre que s'est développée la traditionnelle Traversée du Vercors, course de ski de fond - inspirée de la Vasaloppett en Suède - plus de 50 km et 2 000 mètres de dénivelées positives. De nombreuses modifications ont été apportées depuis 1968. Des variantes ont également été créées : la Vercorette pour les enfants et les 100 km du Vercors.
Toute l'architecture du Vercors n'est pas identique. Elle varie en fonction de l'altitude et du climat. On retrouve tout de même certaines particularités propres au Vercors. Ainsi les maisons regroupent l'habitation et le bâtiment agricole sous le même toit. Les murs sont fait en pierre - du calcaire - et les ouvertures sont petites et orientées au sud. Le bois est très peu utilisé (malgré les ressources locales) en raison des risques d'incendie.
Le plus caractéristique de ces habitations vertacomicoriennes se situe au niveau de la toiture. Celle-ci, à deux pans, a des pentes très raides. Anciennement le chaume était utilisé. Pour la protéger du vent, on faisait dépasser les pignons au-dessus de la toiture. C'est cette forme si particulière nommée « sauts de moineaux » que l'on reconnaît l'architecture du Vercors. Les pignons en forme d'escaliers étaient recouverts de lauzes pour les protéger et éviter les infiltrations d'eau. Le chaume a, par la suite, été remplacé par de l'ardoise puis par de la tôle ou des plaques en fibrociment. Certaines toitures ont également été recouvertes de lames de bois, en épicéa de 70 cm de long appelées essendoles. Celles-ci sont superposées en trois couches successives sur la toiture.
La tradition du Vercors a longtemps été l'agriculture. La terre n'étant pas très fertile pour la culture, les Vertacomicoriens se sont plutôt tournés vers l'élevage, bovin au nord et ovin au sud. Les techniques se perdent peu à peu. C'est pourquoi dans les années 1990 des jeunes agriculteurs du pays des Quatre Montagnes relancent la race bovine du pays, « la Villarde » et en même temps un fromage reconnu AOC le Bleu de Vercors - Sassenage. C'est un fromage à base de lait de vache, pour une consommation optimale, il est affiné pendant 4 semaines. Il a une pâte non cuite et il est d'une saveur très douce.
Parallèlement, on a également travaillé le bois. Mais comme il n'était pas possible de le transporter, vu le faible réseau routier et la densité de la forêt, on l'a exploité par « charbonnage » car il est plus facile à transporter du charbon que des bûches. C'est un travail dur et laborieux. Le charbon est fait à partir de la lente combustion du hêtre. Ainsi des buttes de bûches de bois étaient faites, 8 à 10 mètres de diamètre et 3 à 4 mètres de haut. Celles-ci sont ensuite recouvertes de terre (une sorte de couvercle pour éviter le tirage). Il fallait abattre les arbres, les couper, construire la butte. La combustion d'une butte et de ses 30 tonnes de bois mettait deux à trois semaines ; un homme surveillait en permanence la combustion en perçant notamment des trous dans la carapace en terre. Les hommes vivaient donc en permanence sur les chantiers, dans des huttes en bois fabriquées par leurs soins.
Les plus beaux troncs servaient de mât pour les navires. Ils étaient lancés du haut des falaises par des chemins spécifiques jusqu'à l'Isère, puis assemblés et transportés en radeau jusqu'à Marseille. Ces troncs étaient réquisitionnés par le roi.
Actuellement le bois est devenu une très bonne source de revenus pour les communes.
Au XIXème siècle, la poussée démographique se poursuit. Le travail n'est plus suffisant pour faire vivre tout le monde. C'est en 1851 que le Vercors compte le plus fort taux de population. Il s'en suit un exode vers les villes et l'industrie. Les charbonniers italiens viennent habiter le Vercors pour trouver du travail, celui qui a été délaissé par la population locale.
Au début du XXème siècle, des Suisses sont embauchés sur le massif. Ils apportèrent certainement des idées pour développer l'agriculture en mettant en place des coopératives laitières ou fruitières. Les agriculteurs sont particulièrement fiers de leur vache locale : « la Villard de Lans » ou « Villarde », vache robuste qui servait d'animal de trait et donnait du lait riche en crème et une viande excellente pour les bouchers.
Nous commençons notre tour des saveurs par le sud du Vercors :
C'est dans le Diois que s'élabore l'effervescente Clairette de Die à partir de cépage de muscat. Ce n'est pas du champagne, ni du crémant, c'est plus sucré : goûtez, vous nous en donnerez des nouvelles !
C'est aussi dans cette région ovine du sud que l'on peut savourer le picodon, fromage de chèvre à consommer très frais et fondant dans la bouche ou plus fait, avec un caractère très fort.
Remontez un peu et, entre Gervanne et Royans, vous trouverez la caillette, faite de gras et maigre de porc additionnés de fines herbes. Si votre plaisir n'est pas encore atteint, peut-être goûterez-vous aux ravioles du Royans, petit ravioli fourré au persil et au fromage.
Le Saint-Marcellin est quant à lui, comme le Bleu du Vercors Sassenage, un fromage à pâte molle au lait de vache.
De nombreuses recettes fromagères découlent du Bleu de Sassenage : dont la Vercouline, la fameuse raclette au Bleu du Vercors et la Tartibleue, la tartiflette au Bleu du Vercors.
Rappel : 6 juin 1944, les Alliés prennent d'assaut les plages de Normandie et percent le mur de l'Atlantique. Dans le Vercors, où sont établis plusieurs camps de maquisards, le débarquement est le signal de la mobilisation contre l'occupant allemand. Les résistants, de plus en plus nombreux, rêvent maintenant de lutte ouverte.
Refuge et refus : À partir de 1940 le Vercors, situé en zone libre, est un lieu de refuge en particulier pour les victimes des mesures de discriminations politiques ou raciales du gouvernement de Vichy.
Avec l'occupation de la zone sud en novembre 1942, la montagne du Vercors devient également site de résistance pour ceux qui refusent l'idée d'une France soumise. Les réfractaires au STO, le Service de Travail Obligatoire qui envoie les jeunes Français travailler en Allemagne, viennent grossir les rangs des maquis.
Le Vercors, visible de très loin, depuis les portes de Lyon, ressemble à une forteresse naturelle de soixante kilomètres de long sur trente de large. Les résistants s'y sentent à l'abri de la répression qui sévit dans la région.
Le « Plan Montagnards » : Mais il manque un plan, une stratégie, à ces maquisards et à ces réfractaires qui savent le combat inéluctable.
En fait ce plan existe depuis mars 41. Il a jailli dans l'esprit de deux hommes fascinés par les falaises gigantesques du Vercors. Pierre Dalloz et son ami l'écrivain Jean Prévost ont l'idée de transformer le massif en "Cheval de Troie pour commandos aéroportés".
Cette idée prend corps en janvier 1943 : le Vercors interviendrait au moment d'un débarquement allié attendu en Provence et les troupes aéroportées iraient immédiatement porter le combat sur les arrières de l'ennemi. Le projet, accepté par Jean Moulin et le général Delestraint, devient le "Plan Montagnards". Il est approuvé par le général de Gaulle et les Alliés à Londres comme à Alger.
Ce Plan est mis en œuvre par Alain Le Ray puis par François Huet, chefs militaires du Vercors en liaison avec Eugène Chavant, chef civil du Maquis.
Les camps : Dès 1943, la Résistance s'organise dans le massif. Au cœur de forêts, une douzaine de camps existent. Début 1944, ils rassemblent 400 à 500 civils et militaires, souvent très jeunes, ravitaillés par une population généralement favorable, approvisionnés en armes et en médicaments par les parachutages alliés.
Le combat : Le 6 juin 1944, l'excitation est à son comble en France et dans le Vercors, l'ordre de Londres est le signal de l'action générale. Les entrées du massif sont verrouillées. On ne laisse "monter" que les volontaires qui affluent. Ils sont 4 000, début juillet, et ils proclament la République, faisant flotter le drapeau tricolore sur un territoire déclaré "libre".
Ce massif en armes est un défi à l'ennemi. À Grenoble, le général allemand Karl Pflaum décide d'en finir. Après quelques offensives destinées à mesurer la résistance effective du maquis, notamment à Saint Nizier les 13 et 15 juin 1944 et aux Ecouges le 21 juin 1944, il lance le 21 juillet 15 000 hommes de troupe à l'assaut du Vercors. L'attaque est générale, par les routes, par les "pas", ces cols escarpés que l'on ne franchit qu'à pied, et par les airs puisque sur Vassieux se posent les planeurs à croix noires de la Waffen SS là où auraient dû atterrir les alliés. Après une semaine d'un combat acharné mais inégal, le Vercors est à genoux. Plus de 600 résistants et une centaine d'Allemands sont tués.
Quant à la population, exposée à la sauvagerie des assaillants, elle paie un lourd tribut : 201 personnes meurent dans des conditions souvent atroces, 41 autres sont déportées, 573 maisons sont détruites.
Malgré la reconstruction de nombreux bourgs et hameaux après la guerre, le Vercors garde des traces indélébiles de cette période tragique. De nombreux mémoriaux, stèles, monuments jalonnent le paysage nous rappelant cette partie de notre histoire.
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